OFFICIALISATION

Le mardi 9 Février, le Bureau Exécutif national se réunit à Paris et sera appelé à ratifier les accords passés entre François BAYROU et Patrice DREVET. Dès cet instant, celui-ci sera le candidat confirmé "très officiellement" comme tête de liste de notre Mouvement sur la région Languedoc-Roussillon.

Il est rappelé parallèlement que le sigle "Mouvement Démocrate", ou "Modem" sont la propriété exclusive du mouvement. Leur utilisation dans le cadre d'une campagne électorale par des candidats non officiellement investis les expose aussitôt non seulement à des poursuite judiciaires, mais à l'invalidation systématique de leur liste, et ce en application de la loi régissant les partis politiques.

 

Ce rappel peut être utile pour le cas où certains seraient tentés de passer outre cette règle intangible.

SITE OFFICIEL NATIONAL

Nous sommes tenus informés que François BAYROU a fait ôter du site officiel national du Mouvement Démocrate les noms des ex-têtes de liste (DUFOUR-CANU) pour le Languedoc-Roussillon.

 

Ceci met fin à une certaine ambigüité qui existait encore à propos de leur présence dans ce cadre officiel. La même mesure de radiation sera appliquée dès que possible sur le site temporaire de campagne.

DÉMENTI OFFICIEL

DERNIÈRE MINUTE....

DÉMENTI OFFICIEL

Contre toute attente, une bien étrange nouvelle est parue ce matin dans le quotidien régional “MIDI LIBRE”.

À en croire cet organe de presse, François BAYROU se serait soudain ravisé, dans la nuit du vendredi 5 au samedi 6, en retirant à Patrice DREVET l’investiture du Mouvement Démocrate qu'il lui avait confirmée la veille, vendredi après-midi, comme tête de liste officielle dans le Languedoc-Roussillon, après les 2 réunions de travail qui avaient eu lieu, une première fois entre François BAYROU lui-même et Patrice DREVET le mercredi, puis une autre fois avec ses proches collaborateurs le vendredi matin pour finaliser la liste proposée.

La validation officielle de François BAYROU avait donc été transmise à Patrice DREVET le vendredi après-midi et les responsables locaux de notre Mouvement en avaient été aussitôt informé.

Si l’on en croit toujours l’article paru dans le "MIDI LIBRE", François BAYROU aurait donc envoyé “un mail” à Patrice DREVET dans la journée du samedi pour lui signifier qu’il avait changé d’avis depuis 24 heures. Mais nul responsable de notre Mouvement dans nos départements n'en avait été informé. Sauf, apparemment seul, Mr Marc DUFOUR, sans précision de sa part sur la source de l'information qu’il prétendait détenir.

Ceci a paru aussitôt assez curieux aux différents proches, tant ceux de François BAYROU que ceux de Patrice DREVET. En effet, envoyer un simple “mail” pour y transmettre un message de cette importance paraissait un peu cavalier de la part de François BAYROU alors que l’on sait sa culture toujours profondèment respectueuse de ses interlocuteurs. Alors que l’on savait aussi que les deux hommes avaient pris l'habitude de fréquents contacts téléphoniques.

Mr Patrice DREVET, de son côté, quoiqu’en déplacement en Corse, gardait toujours avec ses proches et ses collaborateurs des contacts constants. Or, quand celui-ci a reçu l’information diffusée par la presse, ni lui, ni ses proches n'avaient la moindre trace d’un contact quelconque, sous quelque forme que ce soit, en provenance de François BAYROU.

Il y avait manifestement “problème”.

Des contacts ont été aussitôt entrepris dès ce dimanche près François BAYROU lui-même pour connaître la vérité.

Ce soir, peu avant 20 heures, l’information officielle nous parvenait, ici à NÎMES, de François BAYROU lui-même. Un François BAYROU profondément indigné de cette manœuvre grossière entreprise par certains en vue de tromper l’opinion et nos adhérents.

François BAYROU en personne a donc confirmé à son interlocuteur nîmois ce qu’il avait dit précédemment à Patrice DREVET : celui-ci est bien toujours la tête de liste officiellement investie par le Mouvement Démocrate pour former une liste d’union avec Génération Écologie dans le Languedoc-Roussillon, et ce dans les conditions arrêtées lors de la réunion de travail de vendredi à PARIS.

TOUTE INFORMATION CONTRAIRE

N'EST QUE MENSONGE HONTEUX

Nous regrettons vivement devoir utiliser de tels termes pour stopper une manœuvre grossière entreprise par quelqu’un, membre de notre famille politique, “qui prend ses rêves pour des réalités” (extrait de la conversation de ce soir).

Une conférence de presse sera organisée demain, lundi, pour rétablir la vérité face à l’opinion publique et nos adhérents qu’on a tenté grossièrement d’induire en erreur par le biais de mensonges qui déshonorent gravement leurs auteurs.

À PROPOS DE L'AFFAIRE DE VILLEPIN

L'erreur de Mr SARKOZY ouvrant à Mr DE VILLEPIN un espace politique inespéré, en faisant de son adversaire une victime de plus du système. Cela pose de multiples questions au niveau des institutions de la République et ouvre des aspects nouveaux au panorama politique français.

C'est ce sujet qu'aborde dans un récent billet François VAN DE VILLE : "À PROPOS DE L'AFFAIRE DE VILLEPIN".

 

Quelles conséquences pour demain ?

DÉMISSION de Mr Marc DUFOUR

OFFICIEL

 

Les téléspectateurs de France 3 Montpellier ont eu la primeur de l'annonce, ce soir dimanche au Journal Télévisé de 18h55 : Mr Marc DUFOUR, Président du Mouvement Démocrate de l'Hérault et élu tout récemment "tête de liste régionale" pour conduire la liste du MoDem dans le Languedoc-Roussillon, a annoncé publiquement qu'il avait remis ce dimanche matin à François BAYROU sa démission comme "tête de liste" et s'inclinait devant l'accord national signé entre le Mouvement Démocrate et Génération Écologie Indépendante, laissant donc la place à Mr Patrice DREVET, leader de ce mouvement dans notre région, pour former une liste MODEM-GÉNÉRATION ÉCOLOGIE.

Il a précisé qu'il avait formé le vœu près de François BAYROU que les têtes de liste départementales soient des têtes MoDem. La balle est donc dans le camp des instances nationales qui en décideront en ultime instance.

Quant à Mr Marc DUFOUR, il a précisé qu'il figurera sur la liste départementale de l'Hérault, mais qu'il en prendra la dernière place (non éligible).

Voici donc la fin d'un suspense qui a quelque peu agité notre Mouvement depuis quelques jours et permettra, à la suite de cet accord, la création de listes départementales de rassemblement susceptibles d'augmenter les chances de notre Mouvement dans le prochain scrutin de Mars.

VERS UN BRAS DE FER BAYROU-DUFOUR ?

L'accord national qui a été signé jeudi entre le Mouvement Démocrate et le groupe Génération Écologique Indépendante semble faire grincer quelques dents. Et puisqu'il s'applique dans toutes les régions de France, il en est de même dans le Languedoc-Roussillon.

Marc DUFOUR semble faire de la résistance à en juger les propos qu'il aurait échangés avec François BAYROU "himself". Il est vrai que cela boucule sérieusement l'organisation de sa baronnie locale où il semble chercher surtout à imposer ses amis proches aux (éventuels) "postes éligibles", quitte à passer au travers des décisions des fédérations départementales qui, évidemment, ont leur mot à dire quant au choix de leurs propres candidats dans leur propre département.

Y aura-t-il une explication musclée "sur un parking" entre François BAYROU et Marc DUFOUR, puisqu'il semble que c'est là le lieu préféré des débats chez nos barons régionaux ?

On peut s'interroger sérieusement à la lecture de l'article paru ce matin dans le Midi Libre "Çà pue...".

 

À suivre....

DREVET TÊTE DE LISTE MODEM À LA PLACE DE DUFOUR ?

L'on savait que le Bureau Exécutif national du Mouvement Démocrate devait se réunir hier, jeudi, dans la soirée pour trancher, notamment, les problèmes latents qui se posaient dans le Languedoc-Roussillon. Un message avait été envoyé par François BAYROU au Secrétaire Départemental du GARD, mardi, pour l'informer de l'imminence d'une décision. Des coups de fil se succédaient ensuite, depuis les services proches du Président national, pour inviter à une nécessaire sérénité en attendant la décision attendue, mais sans aucune autre information sur sa nature.

 

L'information est tombée hier, jeudi, tard dans la soirée. Elle est publiée dans le Midi Libre de ce vendredi matin, en l'absence de toute autre information officielle qui devrait tomber, on le suppose, dans la journée près nos responsables locaux.

 

Nous vous la livrons ici telle qu'elle nous est parvenue à cet instant, via les correspondants de la presse à Paris.

 

Si elle se confirme, c'est un changement radical qui vient de se produire au sein de notre Mouvement dans la région du Languedoc-Roussillon.

 

À suivre.

À PROPOS DE L'ISLAM ET LA RÉPUBLIQUE

En plein débat sur l'identité nationale, le rapport entre l'Islam et la République est devenu un sujet brûlant.

 

François VAN DE VILLE, dans son dernier billet, fait une approche critique de cet épineux problème.

 

Un éclairage qui sort des sentiers battus.

PASSEZ, BONNES GENS....

L'AFFAIRE....

Mr Henri PROGLIO, de par la volonté de Mr SARKOZY, et comme tant d’autres nominations dont il est devenu l’expert pour y placer prioritairement ses “amis”, a été nommé PDG d’EDF. Bien : il faut s’y faire puisqu’il est momentanément “le” Président, omniprésent et omni-puissant de par le soutien de ses amis politiques.

Mr PROGLIO, lui, n’est pas du tout un inconnu : il fait partie de ces “grands capitaines d’industrie” que, sur le marché mondial, les grandes entreprises tentent de s’approprier, même à prix d’or, pour donner une nouvelle vigueur à leur société.

Jusque là, rien de très choquant, même si ce “patron” fait aujourd'hui étalage qu’il perçoit environ 2 millions d’euros de salaire par an. C’est la loi du marché qui le veut. Disons même que ce salaire se situe plutôt dans la partie basse de ce l’on rencontre ailleurs : il y a d’autres patrons sur le marché, de même gabarit, dont le salaire dépasse les 15 millions par an ! Oh le pauvre !

Mais, ce qu’il y a de choquant, dans ce qu’il faut bien appeler aujourd'hui “l’affaire PROGLIO”, c’est que celui-ci, qui était précédemment dirigeant du groupe VEOLIA, en devenant ensuite PDG d’EDF de par la volonté de l’Élysée, n’a pas quitté ses fonctions antérieures. Il porte donc maintenant une double “casquette” : il est à la fois le PDG d’une entreprise à forte participation publique (EDF), et il reste le dirigeant d’une entreprise privée (VEOLIA).

C’est du jamais vu dans l’histoire de nos institutions.

La cabale qui se dresse aujourd’hui contre cette situation est parfaitement justifiée. EDF n’est pas une entreprise comme une autre. VEOLIA, elle, défend des intérêts privés qui lui sont proches dans ses activités. Cette imbrication entre des intérêts publics et des intérêts privés, par PDG partagé, est totalement intolérable.

C’est une atteinte à la tradition républicaine de notre pays. C’est une grave entorse à l’éthique de nos institutions.

Éthique, ai-je dit ? C’est peut-être le mot de trop.  Il n’est manifestement plus à la mode : Mr SARKOZY ne cesse de nous prouver que l’éthique et lui ne font pas bon ménage. Il s’en moque totalement et en balaie allègrement toutes les règles. Il laisse l’éthique et ses arguments aux autres, à ceux qui souhaitent aujourd’hui que çà change et qu’on respecte enfin, de nouveau, les hommes, les institutions qu’ils se sont données et les règles fondamentales de notre société.

Passez bonnes gens : il n’y a rien à voir.

François VAN DE VILLE

ÉLECTION DES CANDIDATS À LA CANDIDATURE

LE CONSEIL DÉPARTEMENTAL A CHOISI LES CANDIDATS du GARD

 

Lors des prochaines élections régionales, le nombre de sièges à pourvoir pour représenter le Département du GARD au sein de la liste régionale a été fixé par la Loi électorale au nombre de 20.

Conformément aux décisions du Conseil National, nos adhérents pouvaient proposer leur candidature jusque le 5 Novembre 2009 : 29 dossiers gardois ont été officiellement reçus et acceptés par nos instances nationales.

Seuls le Bureau Exécutif, puis le Conseil National de notre Mouvement, sont en droit d’accorder les investitures sollicitées après consultation statutaire des fédérations concernées.

En ce qui nous concerne, et dans le cadre de ces consultations préalables, nos propres instances départementales élues avaient donc à choisir 20 candidats sur les 29 qui avaient postulé validement à la date butoir fixée. (En fait, ils n’étaient plus que 28 à pouvoir le faire en raison de la suspension, entre temps, pour une durée de 2 ans d’un des candidats - Mr Éric FIROUD - par la Commission (nationale) de Contrôle et de Conciliation).

Les 81 membres élus ou de droit du Conseil Départemental du Mouvement Démocrate du GARD ont donc été invités à se réunir ce Mardi 19 Novembre à NÎMES pour faire le (difficile) choix des 20 candidats proposés à l’investiture nationale, le vote devant se dérouler nominativement, candidat par candidat, à bulletins secrets.

48 des membres du Conseil Départemental étaient présents ou représentés, soit un taux de participation de plus de 59%.

47 suffrages se sont exprimés, 1 bulletin a été déclaré nul.

Ont été désignés pour être proposés à l’investiture au Bureau Exécutif et au Conseil National, et ce dans une majorité exprimée allant de 39 à 47 voix, les candidats suivants (ordre alphabétique) :

COLLÈGE FEMMES

• Brigitte AMIGO (Bouillargues)
• Monique COISSON (La Calmette)
• Céline FERRER (Alès)
• Annabelle LEGAL (St Gilles)
• Joëlle PELLISSIER (Nîmes)
• Corinne PONCE-CASANOVA (Nîmes)
• Dany PONS (Aubais)
• Katia ROUDIAK (La Grand’Combe)
• Marylin ROY (Alès)

COLLÈGE HOMMES

• Philippe BERTA (Nîmes)
• Bernard BON (Bellegarde)
• Ludovic BOUIX (La Grand’Combe)
• Guillaume CASTILLE (Nîmes)
• Henri FRANCÈS (St Christol les Alès)
• Patrick REVOL (Bagnols sur Cèze)
• Bernard SENDRA (Le Grau du Roi)
• Simon SUBTIL (Uzès)
• Gérard VALLADIER (Villeneuve les Avignon)

Après proclamation de ces résultats, le Président Philippe BERTA a formulé le vœu que tous concourent au plein succès de la liste régionale conduite par Mr Marc DUFOUR, Président de la Fédération de l’Hérault, élu il y a quelques jours au sein d’une “primaire” où tous les adhérents du Languedoc-Roussillon ont pu faire le choix de leur tête de liste régionale.

Ces résultats ont été aussitôt transmis à François BAYROU et à toutes les autorités qui ont à en déférer en vue de l’investiture sollicitée.